Un milliard d’être humains souffrent de la faim à l’heure actuelle, a déploré le Secrétaire général à Madrid, où il a appelé a replacer la question au premier plan des priorités à travers des mécanismes de financement fiables.
« Alors que les prix augmentaient, nous avons réalisé un accroissement de l’action humanitaire d’urgence sans précédent contre la faim et la malnutrition » en 2008, a rappelé le Secrétaire général lors du sommet de Madrid. Mais ce n’est pas suffisant : en 2008, les Nations Unies et la communauté internationale n’ont pas été en mesure de faire parvenir des semences et des engrais à tous les petits exploitants qui en avaient besoin pour deux saisons de récolte, a-t-il insisté.
Ce dernier a convenu qu’il fallait un mécanisme de coordination plus efficace pour y parvenir, avant d’exposer les conclusions du groupe d’experts de haut niveau sur la crise alimentaire, mis en place l’année dernière.
« Il faut lier les mesures prises contre la faim, les mesures pour améliorer la sécurité alimentaire, élargir la protection sociale des plus vulnérables, améliorer la production agricole et faire en sorte que les mécanismes d’échange fonctionnent en faveur des plus pauvres », a plaidé Ban Ki-moon. Deuxièmement, soutenir des partenariats, notamment en créant un Partenariat mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire. Enfin, fournir aux pays qui en ont besoin une assistance extérieure plus accessible. « Mais si nous n’avons pas de mécanisme financier viable, l’argent ne viendra pas », a-t-il insisté.A l’issue de la conférence, le Secrétaire général a remercié l’Espagne, qui accueillait la conférence, de son don de 200 millions d’euros pour ces efforts sur cinq ans, appelant les autres donateurs à faire de même. Au moins 15 pays ont fait des promesses de don, d’assistance technique et de soutien politique pour éliminer la faim.
http://secheresse.wordpress.com/2009/01/27/onu-la-faim-dans-le-monde-doit-revenir-au-premier-plan-des-priorites-unnews/
« Alors que les prix augmentaient, nous avons réalisé un accroissement de l’action humanitaire d’urgence sans précédent contre la faim et la malnutrition » en 2008, a rappelé le Secrétaire général lors du sommet de Madrid. Mais ce n’est pas suffisant : en 2008, les Nations Unies et la communauté internationale n’ont pas été en mesure de faire parvenir des semences et des engrais à tous les petits exploitants qui en avaient besoin pour deux saisons de récolte, a-t-il insisté.
Ce dernier a convenu qu’il fallait un mécanisme de coordination plus efficace pour y parvenir, avant d’exposer les conclusions du groupe d’experts de haut niveau sur la crise alimentaire, mis en place l’année dernière.
« Il faut lier les mesures prises contre la faim, les mesures pour améliorer la sécurité alimentaire, élargir la protection sociale des plus vulnérables, améliorer la production agricole et faire en sorte que les mécanismes d’échange fonctionnent en faveur des plus pauvres », a plaidé Ban Ki-moon. Deuxièmement, soutenir des partenariats, notamment en créant un Partenariat mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire. Enfin, fournir aux pays qui en ont besoin une assistance extérieure plus accessible. « Mais si nous n’avons pas de mécanisme financier viable, l’argent ne viendra pas », a-t-il insisté.A l’issue de la conférence, le Secrétaire général a remercié l’Espagne, qui accueillait la conférence, de son don de 200 millions d’euros pour ces efforts sur cinq ans, appelant les autres donateurs à faire de même. Au moins 15 pays ont fait des promesses de don, d’assistance technique et de soutien politique pour éliminer la faim.
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